#20 Pourriez-vous vivre dans un Sequoia pendant 2 ans? Crise existientielle et quête de sens. PartII
Dernière mise à jour : 16 mars
Buenos días/tardes/noches selon où vous vous trouvez sur le globe, chers et chères résistant.e.s!
Comme prévu, pendant que je rentre et vous écris tout sur mon aventure Tren Maya (voir le blogpost #18 si vous êtes perdus), nous poursuivons avec nos Grandes Réflexions sur la crise existentielle et la quête de sens. Ce matin encore, en parcourant les réseaux et les médias, j’ai été happé d’un sentiment d’impuissance, de colère, de peur, d’effroi. “Et moi dans tout ça? Qu’est-ce que je fais? Comment? Où je vais et où est-ce que je commence? Quelle est ma place?”. Je ressens au plus profond de moi la conviction intime que nous sommes tous bourrés de talents, d’attributs et de compétences diverses et variées et que nous sommes tous appelés à faire le bien, d’une façon ou d’une autre, pour soulager notre monde d’un de ses multiples maux (la liste est bien longue, ce qui m’a toujours fait penser qu’au moins, il y a l’embarras du choix).
Mais si c’était si simple, on n’en serait pas là, et on aurait pas tous, de temps à autre le cortex cingulaire intérieur qui nous embête. Dans la partie 1 de ce post (voir blog post #17) on a parlé de celui-ci pour expliquer biologiquement cet état de panique et d’anxiété de “crises existentielles” qui nous gratouille et nous fait angoisser (vous voyez bien, ce dimanche après-midi en PLS, à moitié habillé.e, dans votre lit à regarder dehors, un gros vide